Ce que je reproche à Sami El Fehri c’est qu’il insiste à écrire lui-même l’histoire, le scénario et les dialogues de ses feuilletons, alors qu’il n’est vraiment pas doué pour tout ça, et qu’il ne peut réussir qu’en tant que réalisateur. D’ailleurs Maktoub 1 et 2, ses deux seuls feuilletons plus ou moins intéressants à mon sens, ont été écrits par Tahar Fazaa (pour le 1er) et conjointement avec lui (pour le 2ème).
Conséquence : Awled Moufida tombe, comme ses prédécesseurs, dans la démesure et l’irréalisme, avec notamment une dose de violence -physique et verbale- exagérée (car oui, nous sommes un peuple assez violent, mais pas au point de se donner des gifles toutes les deux minutes ni d’avoir un taux de meurtres digne des Favelas).
Et que dire des scènes « sensationnelles » de nwe7 w ghred présentes à gogo et censées toucher le téléspectateur, mais qui ont fini par tourner au ridicule tellement elles sont fréquentes, longues et peu spontanées ?
Sans parler des incohérences indénombrables dans le scénario, notamment dans les enquêtes policières à deux balles, et de la superficialité de certains dialogues et détails scénaristiques. D’ailleurs, à ce propos, la superficialité de Sami El Fehri n’est un secret pour personne. Pour la saisir, il suffit de regarder les émissions qu’il anime (comme Dlilek Mlak) ou son choix d’animateurs pour les autres émissions de sa chaîne TV (Amine Gara à titre d’exemple).
Même le casting est en demi-teinte, car certes, il y a de très bons acteurs, mais la plupart des nouveaux jeunes qu’il a sélectionnés ont un niveau pathétique (à l’image de celui qui joue le rôle d’Ibrahim et de sa nouvelle copine).
Le feuilleton arrive quand même à attirer les Tunisiens, certainement grâce à l’audace des sujets qu’il traite, à une réalisation plutôt réussie, au facteur suspense et à la présence de très bons acteurs dans les principaux rôles.
Conséquence : Awled Moufida tombe, comme ses prédécesseurs, dans la démesure et l’irréalisme, avec notamment une dose de violence -physique et verbale- exagérée (car oui, nous sommes un peuple assez violent, mais pas au point de se donner des gifles toutes les deux minutes ni d’avoir un taux de meurtres digne des Favelas).
Et que dire des scènes « sensationnelles » de nwe7 w ghred présentes à gogo et censées toucher le téléspectateur, mais qui ont fini par tourner au ridicule tellement elles sont fréquentes, longues et peu spontanées ?
Sans parler des incohérences indénombrables dans le scénario, notamment dans les enquêtes policières à deux balles, et de la superficialité de certains dialogues et détails scénaristiques. D’ailleurs, à ce propos, la superficialité de Sami El Fehri n’est un secret pour personne. Pour la saisir, il suffit de regarder les émissions qu’il anime (comme Dlilek Mlak) ou son choix d’animateurs pour les autres émissions de sa chaîne TV (Amine Gara à titre d’exemple).
Même le casting est en demi-teinte, car certes, il y a de très bons acteurs, mais la plupart des nouveaux jeunes qu’il a sélectionnés ont un niveau pathétique (à l’image de celui qui joue le rôle d’Ibrahim et de sa nouvelle copine).
Le feuilleton arrive quand même à attirer les Tunisiens, certainement grâce à l’audace des sujets qu’il traite, à une réalisation plutôt réussie, au facteur suspense et à la présence de très bons acteurs dans les principaux rôles.
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