Autant je respecte le féminisme en tant que doctrine visant à assurer l’égalité en droits entre les deux sexes, autant je méprise le comportement, très répandu sur facebook, de certaines Tunisiennes se considérant comme féministes, qui consiste à cracher en permanence sur les hommes en croyant qu’elles font ainsi preuve de féminisme. En fait, il s’agit plutôt d’une conduite anti-féministe par excellence puisqu’elle est fondée sur l’opposé du féminisme : la discrimination sexuelle.
Ces pseudo-féministes se trompent également d’ennemi, car l’idée de croire que dans les nations sexistes et patriarcales, l’ennemi de la femme est l’homme, relève selon moi d’une analyse très superficielle de la situation. Le vrai ennemi est la société, qui se compose d’hommes… mais aussi de femmes. En effet, l’une des principales raisons qui bloquent l’atteinte des objectifs égalitaires du féminisme est le fait que certaines femmes, si ce n’est la majorité, acceptent et défendent le statut inférieur aux hommes que leur impose la société.
Je trouve également que toute personne ne militant que pour les droits du sexe auquel elle appartient (quel qu’il soit) plutôt que pour l’atteinte des objectifs égalitaires communs n’est pas une vraie féministe et défend une cause légitime certes, mais surtout instinctive et dénudée de noblesse car elle ne se base que sur l’appartenance.
Ces pseudo-féministes se trompent également d’ennemi, car l’idée de croire que dans les nations sexistes et patriarcales, l’ennemi de la femme est l’homme, relève selon moi d’une analyse très superficielle de la situation. Le vrai ennemi est la société, qui se compose d’hommes… mais aussi de femmes. En effet, l’une des principales raisons qui bloquent l’atteinte des objectifs égalitaires du féminisme est le fait que certaines femmes, si ce n’est la majorité, acceptent et défendent le statut inférieur aux hommes que leur impose la société.
Je trouve également que toute personne ne militant que pour les droits du sexe auquel elle appartient (quel qu’il soit) plutôt que pour l’atteinte des objectifs égalitaires communs n’est pas une vraie féministe et défend une cause légitime certes, mais surtout instinctive et dénudée de noblesse car elle ne se base que sur l’appartenance.